Depuis l’année 1912 la superficie du territoire communal est fixée à 1 739 ha. Le territoire de forme plus ou moins elliptique présente un éperon au nord de la ligne ferroviaire et englobe le Tossenberg ainsi qu’une petite partie de la route d’Arlon. Bertrange forme la partie la plus à l’ouest du canton de Luxembourg. Le territoire présente une configuration vallonnée en pente douce s’étalant d’ouest en est.
Au début du 19e siècle, Bertrange comptait une population de 679 habitants, une augmentation spectaculaire de la population débuta dans les années 1960, ce nombre a continué d’augmenter et on en compte déjà plus de 9 000 habitants aujourd’hui.
Durant l’époque romaine le Luxembourg faisait partie, dans le nord de la Gaule, de la Province « Belgique » englobé dans l’entité administrative du Civitas des Trévires. Après la guerre des Gaules (années 58 à 50 avant notre ère) le légat Vipsanius Agrippa, installé par Jules César, développe les réseaux routiers. Les grands axes Reims-Trèves-Cologne ou Metz-Trèves-Cologne permettent la création de nombreuses agglomérations comme les vicus de Dalheim, du Titelberg, de Wasserbillig, de Niederanven ou du Tossenberg. A côté du relais du Tossenberg avec ses auberges, étables, écuries, tavernes et échoppes, un grand domaine rural avec villa et zone d’exploitation agricole se trouvait à Bertrange Bourmicht. C’était probablement déjà une exploitation celte lors de la conquête de César, l’apogée du domaine se situe entre le premier et le troisième siècle de notre ère. Les recherches archéologiques ont permis de mettre à jour les dépendances agricoles, un grenier fortifié et des pierres sculptées faisant partie d’un mausolée, un monument funéraire de grande taille. A ce jour la villa proprement dite n’a pas encore été fouillée. Lors des fouilles des dépendances agricoles les archéologues ont fait une découverte étonnante. Treize tombes de l’époque mérovingienne de la fin du 6e siècle ont été aménagées dans les ruines romaines. Malgré le pillage des tombes il a été possible de récupérer dans une tombe de notable, des fibules, des pendeloques en or, des perles en pâte de verre et une amulette en cristal de roche.
Les Francs (459-963) ont donné à notre localité son nom, le nom d’un chef franc local « Bert ou Bertho » associé au suffixe «ingen/ange» signifie que le village appartient au chef Bert.
Au moyen-âge et plus précisément en 1171 le château de Bertrange, situé au centre de l’agglomération actuelle, est détruit par le comte Henri de Luxembourg, la paroisse est documentée pour la première fois en 1128. La localisation en périphérie de Luxembourg-ville faisait qu’à chaque siège de la capitale, le village de Bertrange était mis à sac et incendié. Durant la guerre de 30 ans la peste décimait la moitié de la population.
Au 18e et 19e siècle le village est resté essentiellement agricole, les paysans-propriétaires et les journaliers restent majoritaires à Bertrange. Le nombre d’habitants n’évolue que très lentement. Le développement de l’industrie du calcaire, la réalisation du chemin de fer créent des emplois stables et permettent un premier essor de la localité.
Durant la Deuxième Guerre mondiale, Bertrange aussi a été soumise à la dictature nazie, rares sont les familles qui n’ont pas souffert la perte d’un proche engagé dans la résistance ou enrôlé de force. Les opérations militaires lors de la libération de Bertrange du 9 septembre 1944, ont été caractérisées par la bataille de chars de Grevels-Barrière entre Merl et Dippach. Les chars américains du 34e bataillon de la 5e armée américaine sous le commandement du Général Lunsford E. Oliver ont affronté les blindés Mark V allemands.
L’implantation de grandes entreprises du pétrole, de la cimenterie et de grands centres commerciaux ainsi que la création de la zone d’activité « Bourmicht » ont permis après la guerre 1939-1945 le développement spectaculaire de la commune.
Avec sa population multiculturelle, ses nombreuses associations culturelles et sportives débordant d’activités, ces zones d’activités commerciales et de services, ses pistes cyclables et chemins piétonniers, ses espaces publics, ses parcs, sa ceinture forestière et son environnement largement intact, Bertrange a de quoi séduire.
Depuis l’année 1912 la superficie du territoire communal est fixée à 1 739 ha. Le territoire de forme plus ou moins elliptique présente un éperon au nord de la ligne ferroviaire et englobe le Tossenberg ainsi qu’une petite partie de la route d’Arlon. Bertrange forme la partie la plus à l’ouest du canton de Luxembourg. Le territoire présente une configuration vallonnée en pente douce s’étalant d’ouest en est.
Au début du 19e siècle, Bertrange comptait une population de 679 habitants, une augmentation spectaculaire de la population débuta dans les années 1960 pour atteindre en 2015 quelque 7400 habitants.
Durant l’époque romaine le Luxembourg faisait partie, dans le nord de la Gaule, de la Province « Belgique » englobé dans l’entité administrative du Civitas des Trévires. Après la guerre des Gaules (années 58 à 50 avant notre ère) le légat Vipsanius Agrippa, installé par Jules César, développe les réseaux routiers. Les grands axes Reims-Trèves-Cologne ou Metz-Trèves-Cologne permettent la création de nombreuses agglomérations comme les vicus de Dalheim, du Titelberg, de Wasserbillig, de Niederanven ou du Tossenberg. A côté du relais du Tossenberg avec ses auberges, étables, écuries, tavernes et échoppes, un grand domaine rural avec villa et zone d’exploitation agricole se trouvait à Bertrange Bourmicht. C’était probablement déjà une exploitation celte lors de la conquête de César, l’apogée du domaine se situe entre le premier et le troisième siècle de notre ère. Les recherches archéologiques ont permis de mettre à jour les dépendances agricoles, un grenier fortifié et des pierres sculptées faisant partie d’un mausolée, un monument funéraire de grande taille. A ce jour la villa proprement dite n’a pas encore été fouillée. Lors des fouilles des dépendances agricoles les archéologues ont fait une découverte étonnante. Treize tombes de l’époque mérovingienne de la fin du 6e siècle ont été aménagées dans les ruines romaines. Malgré le pillage des tombes il a été possible de récupérer dans une tombe de notable, des fibules, des pendeloques en or, des perles en pâte de verre et une amulette en cristal de roche.
Les Francs (459-963) ont donné à notre localité son nom, le nom d’un chef franc local « Bert ou Bertho » associé au suffixe «ingen/ange» signifie que le village appartient au chef Bert.
Au moyen-âge et plus précisément en 1171 le château de Bertrange, situé au centre de l’agglomération actuelle, est détruit par le comte Henri de Luxembourg, la paroisse est documentée pour la première fois en 1128. La localisation en périphérie de Luxembourg-ville faisait qu’à chaque siège de la capitale, le village de Bertrange était mis à sac et incendié. Durant la guerre de 30 ans la peste décimait la moitié de la population.
Au 18e et 19e siècle le village est resté essentiellement agricole, les paysans-propriétaires et les journaliers restent majoritaires à Bertrange. Le nombre d’habitants n’évolue que très lentement. Le développement de l’industrie du calcaire, la réalisation du chemin de fer créent des emplois stables et permettent un premier essor de la localité.
Durant la Deuxième Guerre mondiale, Bertrange aussi a été soumise à la dictature nazie, rares sont les familles qui n’ont pas souffert la perte d’un proche engagé dans la résistance ou enrôlé de force. Les opérations militaires lors de la libération de Bertrange du 9 septembre 1944, ont été caractérisées par la bataille de chars de Grevels-Barrière entre Merl et Dippach. Les chars américains du 34e bataillon de la 5e armée américaine sous le commandement du Général Lunsford E. Oliver ont affronté les blindés Mark V allemands.
L’implantation de grandes entreprises du pétrole, de la cimenterie et de grands centres commerciaux ainsi que la création de la zone d’activité « Bourmicht » ont permis après la guerre 1939-1945 le développement spectaculaire de la commune.
Avec sa population multiculturelle, ses nombreuses associations culturelles et sportives débordant d’activités, ces zones d’activités commerciales et de services, ses pistes cyclables et chemins piétonniers, ses espaces publics, ses parcs, sa ceinture forestière et son environnement largement intact, Bertrange a de quoi séduire.